dimanche 21 octobre 2012

Aout rage

Sorti d'un long trajet, tout ton corps coincé. L'esprit rincé, on t'a assez transporté. Au moins tu l'as pas volé. Après Ulysse, tu te hisses. Essaie de ne pas retomber. Beeh... Que l'on boit après, ce petit goût d'anis manquera. Il est l'heure de l’accalmie; énervement et enfantillage doivent cesser. Tu te vois brisé, fou que tu es! Ce sont bribes d'âmes que tu sèmes: tu n'es plus le même, Morceau par Morceau tu t'es donné.

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