vendredi 22 mars 2013

Premier échange

Il y a des reste de pas, un halo musical qui embaume ces lieux. On aurait pu décrocher des yeux, la hauteur tend silencieusement, on tombe. Tout arrive en trombe, le sol gronde. Les murs eux, soucieux...

  Il y a un autre ici que je connais pas...

Sans aucun son naissait ses pas. Le plat d'eux ne fait toujours pas bon ménage. Au moins on partage; ici tu peux prendre de l'âge. Dormons, ici c'est plus sage.

  Un autre dont les mots sans sons se perdent sans sens.
  Un autre dont les bout de phrases émergent comme les phares, la poésie comme étendard.

Il est bien tard et le fard qui est à l'aurore du pleur de ces sœurs. On voit déjà la lueur, loin de cette pudeur les saules sont en pleurs. Et l'innocence se meurt: Il faut avoir conscience de toute la science qu'on apprend de la patience. Moi je dis prescience, alors pourquoi pas, encore voilà une danse. Ici on se fend la panse, les anses sont pleines et les plaintes vaines. Accordé d'une façon sereine, le Seigneur de façon pérenne a cru trouver bon de demander ferveur à la Duc Duchêne. Quelle erreur ! La voilà en pleur. C'est toujours sur ses sœurs que l'on fait son beurre.

  Des sœurs qui pleurent...
  Des sœurs qui se meurent...
  Dévotes d'un seigneur qui les leurre...
  Dévotes du malheur qu'elles font leurs...
  Des heures sans bonheur...
  Des heures jusqu'à l'horreur...

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